« Le garçon qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette. »
WE'RE ALL FUCKING MAD HERE. « Le bel éphèbe déraisonne et divague, car il excelle en cette matière. Il murmure, accroché à ses lèvres, ne l’effleurant point. Juste mélangeant son haleine à la sienne. Sans contact, ni tentative de lien. Les doigts désireux de parcourir inlassablement la bouche. Offerte à la vue, douce, et gelée au toucher. Piège qu’on lui tend, qu’on le pousse à vouloir lacérer. La destruction l'effraye. Il ambitionne éviscérer son prochain. Le monstre se nourrit de colère. »
BABINE →
20 PIGES →
RÉGULIÈRE →
YOUPI
Dernière édition par Charlie Weiss le Mer 28 Déc - 0:28, édité 14 fois
« Tangibilité désagrégée, il plane, il s’égare et disparait. Enfant pleurant sa détresse et sa misère, pataugeant allégrement dans sa fange. il cherche, mais ne trouve jamais. Oubliant ce qui jusqu’alors le guidait. Aveugle et muet, triturant ses globes oculaires afin de repousser les larmes qui montent. Dramatique naufrage d’une âme en absolu péril. Ardente chimère, danseuse aux déhanchés voluptueux. Elle bouge, remue, se détache de son maître. Le naufrage l'excite. Il a perdu de son arrogance, il a perdu de sa fatale conscience. »
DREAM. Gémissante à genoux, les larmes roulent sur ses joues. Des ruisseaux noirs coulent sur ses pommettes saillantes, et ses cheveux ruissellent de milles et une étoiles. On la dit ange, et puis aussi sombre démon. Entre deux désobligeant, l'extorquant d'une logique préalablement branlante. Dangereuse gamine, prête à tout si ce n’est qu’on la sorte du cauchemar sublime. Les cratères de ses bras, plaies ouvertes, à vifs. Chair puante et purulente. Morceaux de barbaque décharnées. Elle s’est injectée un nombre invraisemblable de doses, afin de mourir. Afin de crever et s’empourprer dans une violente démence. Essence même de son existence, repos mérité d’un guerrier abimé. Espoir vain d’une fillette sur le déclin, s’évertuant à croiser une quelconque entité. Personnage céleste et divin, qui lui prouverait que tant de supplices et d’efforts n’étaient pas illusoires.
Les murmures s’intensifient, la guillerette nymphe plisse les yeux, enfermant son regard sur le profond sordide de son organisme. Réclamant que l’on taise cette folie, que l’on exhausse ses souhaits. Silence. Impossible, les esprits se disputent, les génies de sa cervelle molle, se déchirent. Les mains se défont et appuient férocement sur ses tempes. Obstruant les oreilles, annihilant le monde mouvant et frétillant alentours. C'est avec moi poupée. Avec moi pour toujours et à jamais. Chuchote t'il. Elle n'entend rien. Les dalles froides gèlent ses maigres guiboles. Marbre à veinures délicates. C’est la fin. Elle le sent, le perçoit. L’entendrait presque. Musique enivrante d’une muse cannibale. Mort. Faucheuse rayonnante, lumière au fond de ce trou noir. Notes s’envolant dans l’atmosphère, se cassant contre les murs fiers. S’échappant des vitraux, conquêtes et histoires. Visages accusateurs de saints impies. Allongeant son corps sur le sol, tendant ses membres à l’extrême vers l’autel. Les excuses ne sont plus nécessaire, la condamnée magnifique presse le coup fatal. Ses cris deviennent animal, étouffés, malades. Sa gestuelle presque bestiale. Se soulevant, tremblotante. L’infecte virus n’a plus aucune notion de survie. Elle est un pantin que l’on balance d’un bout à l’autre d’une chambre. Jouet broyé d’enfant sadique. Eva réveille toi. Reviens avec moi. Un bruit, écho ou congénère. Noa l'extirpe du monde des songes. Et Charlie gesticule, tente de retenir la naïade blessée. Trop tard, elle s'est lamentablement évaporée. L'horizon est sale. Morne et sans saveurs. Il s'endort dans les bras de l'ange gardien, dont il souhaite arracher les ailes à coups de dents et de griffes. J'veux que tu me laisses dormir. Dormir éveillé, c'est ce que je dis. Arrête de faire chier. J'suis fatigué. Eva... Ouais, Eva m'a dit que ça allait passer.
Dernière édition par Charlie Weiss le Mar 27 Déc - 19:41, édité 5 fois
« La cacophonie reprend, l’aliénation perdure, sa raison se flingue. Chienne. Les saloperies lui susurrent des choses. L’embarquent dans leurs mensonges et le somme d’y répondre. Secouant sa figure de môme pernicieux, il n'est qu'un simple et nocif spécimen. »
NIGHTMARE. Mais sa voix, cette si pestilentielle chaleur sur sa peau, la mélodie indescriptible qui anime sa réalité ; l’empêche de lui infliger le chaos que son amour réclame. La vengeance ébranle ses sens, mais ne parvient pas encore à la faire se défaire d'entre ses bras, sa poitrine, son pou tambourinant. Déracinée, la fleur vénéneuse se flétrie et meurt. Ecoulement superbe, de secondes et de minutes. Il ment, il respire, il jure. Il ne pardonne pas. Il ne souhaite que le mordre à sang, voir s’éparpiller le rouge carmin qui l’éveille. « J’ai mal, j’ai tellement mal. » murmure plus que parole absurde, il s’étrangle en de colériques spasmes. Ses phrases glissent comme des torrents d’acides, Charlie est infiniment atroce, persécuteur sadique qui s’évertue inlassablement à convaincre l'autre de toutes ces fadaises. Lui. Seulement lui. Double cosmique, identique onirique. Il ingurgite les conneries en guise d'engagements. Ultime vestige de lui, de ses yeux et de sa bouche. Il ne sait plus à quoi il ressemble. Les iris dilatées sont fixées sur ses lèvres, maintenant. Il apprend à s’exprimer, en le copiant. Noa parle. Parle. Parle. Ta gueule, s'il te plais. Le fervent croyant le poignarde, lui enfonce la lame entre les côtes. Il sourit, son visage est serein. Alors il ne craint plus rien, puisqu’il est en cet instant celui qui mettra un terme à son traitement barbare.
Boucherie. Le délire hydrate sa cervelle flasque. Les hallucinations bercent sa tendre démence. Tout se décompose, il rit. Et glapit indécemment. Charlie est parti, bien loin d’ici. Le toit n’était qu’une passerelle, la tentative de suicide qu’une mise en scène. Théâtre grandeur nature, dont il est l’instrument tragique, ou comique. Une impression de déjà vu, un pressentiment le tourmente. En vérité, il chiale. Pourquoi ? Il entend. Elle crie de douleur en restant inerte, muette, inconsolable cadavre de vierge. Eva, Eva est partie et ne reviendra pas. Et lui ? Lui reste. Lui crève. Lui bouffe et vocifère. Lui ne voit plus rien. Il ne répond pas, il affabule. Conte, imagine, fuit. « Il était une fois… » Son corps lâche, ses jambes flageolent sous son poids plume. Noa ne le laissera jamais tomber trop bas. C'est une certitude. Il le quitte, desserre son étreinte brusquement, d‘une grâce anormale. « Il était une fois. » Son souffle se serre, au point de lui paraître manquer d’oxygène. Le paysage s’estompe, les couleurs persistent sur la rétine. « Il était une fois. » L’éternité d'un malaise. L'obscurité d'un esprit. Le vertige d'un être.
Dernière édition par Charlie Weiss le Mer 28 Déc - 0:24, édité 7 fois
« Les étoiles s’éteignent, tristes ou désespérées. Le chant des sirènes exalte l’atmosphère, furies venimeuses aux masques superbes. Le malheur galope au devant des vents et s’ébroue d’une force vibrante. Désarçonnant les plus fragiles, faisant se perdre les orphelins. Intime relation d’écervelés aux penchants mystiques. Les repères s’envolent et le chemin s’efface. Tas de cendres, poussières virevoltantes et brillantes. Merde, j'ai oublié la fin. »
FANTASY AND REALITY. Le calme distillé s’est évaporé du bocal. Surpris, et bien loin d’une quelconque tranquillité, l’animal superbe se concentre. Oblige ses globes oculaires à verrouiller l’entrée, à ne pas céder au vice. Celui là même d’observer droit dans les yeux la victime exquise. Serrant la mâchoire au point de lui en sembler péter les os. Les dents se muent en crocs, le gout du sang s’insinue. Alangui tel un serpent filant entre la langue et la chair. Le bon sens et la démence. Joli mélange, bouillie mauvaise, trop lourde. Il lui faut oublier, disparaitre et enfoncer ses promesses sous terre. Elever ses murmures afin de les envoyer au fond de la tombe. Prince maculé de péchés, qui ose perturber sa sainte soumission. Il grogne ou gémit, il ne cerne plus tellement la différence. Ce son est si délicat, ses nuances parfaitement infimes. La symphonie danse nonchalamment dans ses tympans. Il étouffe par beaucoup de secrets, l’enfant est bouleversé. On lui retire de sous le nez ses songes et ses angoisses. La bête stupide l’oblige à voir la réalité et à s’y laisser guider. C'est lui. Il scrute, imperturbable. Ou presque. Torrent de venin et d’immondices collantes. Le blond dégénéré frotte vigoureusement ses bras, il faut enlever la crasse. Faire se consumer le faux, palpable, qui étreint ses poignets, qui monte et taillade jusqu’à ses coudes. Il souffre, ne dit rien. Le rêve se disloque, le noir ou l’abîme. On l’embrouille et on l’ébranle. Distrait, ses titanesques projets sont ruinés, la désorganisation et l’anarchie règnent en maîtresses tyranniques dans son crâne. Coup de vent, il plane au dessus des personnages moribonds, il frôle les divins et flagorne les mesquins. Terrible sympathie qui l’enivre, le faisant gravir des sommets brûlants. Il arrive à le saouler, limant ses serres et cajolant ses crises mortelles. Charlie accepte peut être par erreur, et s’accorde à une nouvelle déraison. Ses deux bouts de braises apparaissent, ses paupières fines se soulèvent. Regard noir, d’un succube au masque d’ange. Pinçant ses lèvres, le fringant damoiseau s’imagine lui chopper une oreille, la lui arracher et la recracher à ses pieds. On ignore le dragon qui se cache. Dévisager l'inconnu. Non, dévisager ne sert à rien, on ne peut que prétendre l’investir. Ce corps même entre des mains expertes, s’est s’échappé. Si fragile et si blême. Esquisse de peintre bafoué, d'artiste sans talent. Une nuit ou une heure, un fil que l’on coupe avant de n’avoir mal. Crachats, poison. Abruti. Il s’acharne à gouter. C'est terminé. Il est prisonnier. La bouche s’agite, bouge, se métamorphose. Hallucination bien réelle, la sensation n’est pas froide. Ni chaude non plus. Pacifiste médiocre, bel adonis, méduse cramant tout ce qu’il touche. Penchant la tête sur son côté, lorgnant l’individu étranger, qu’il connait. Il est venu, sans être là. Juste devant, alors qu’il était dans le dos. Dangereux insecte, qui saute et qui vole. L’ étoile doit se donner à la lune, qu’il face l’effort de s’éloigner de lui. Sans pour autant le quitter. Questions et réponses se bousculent, se tordent et se brisent. C’est rapidement long, l’instant l’obsède à en devenir lassant. Tourne en rond et valse avec le vilain garnement. Se protéger de lui, Charlie sourit. Grimace ravissante. Mouvement controversé, d’un crétin appréciant la difficulté. Se balader dans l’inconséquent du moment, ne l’intéresse pas vraiment. Il le regarde donc, l’air vaguement compatissant. Malsain gamin, dont la noirceur de l’âme n’a d’égal que le martyr qui l’habite. Violons et vieille rengaine, couleurs de toutes merveilles.
Dernière édition par Charlie Weiss le Mar 27 Déc - 22:36, édité 4 fois
Maganda Rivers
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 19:43
youpla boom.
Charlie Weiss
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 19:46
Et même que des fois moi zeuh vomi
Maganda Rivers
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 19:49
oui bah pas sur la jolie poupée, sinon tu va voir tes fesses.
Daenerys M. Nikolaï
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 20:03
Charlie Weiss a écrit:
Et même que des fois moi zeuh vomi
Age de glace
Invité
Invité
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 20:09
Enfin. Bienvenue chez toi Babinou-chou, n'hésite pas à contacter le staff au moindre souci.
Apollina N. Nikolaï
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 20:26
Babine, trop classe le pseudo. Bienvenue ici
Reno Sterv
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 20:38
bienvenue,
Tito Korhonen
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 20:50
Ce putain d'avatar. Bienvenue.
Charlie Weiss
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 20:59
Shini : ouais ouais c'est ça ouais èé. touche à mes fesses et jte mords vilaine !
Daenerys - OUIIIII !! je vois que j'ai affaire a une connaisseuse. mouahah. bon a savoir. On va voir si t'es si forte que ça... Dans mon monde à moi, y'a que des poneys ! Ils mangent des arcs en ciel... et ils font des cacas papillons *-* aaaAAaaaaaAAAAAAaaah #PAN#
Toi èé. - j'ai perdu notre bague de fiannnnçaaaaiiiillles *tombe à la renverse et pleure toutes les larmes de son corps* je... je... je les perdu dans le lac de nos amours fanés ! (c'est beau hein ? cliché et tout. j'suis assez fière.) *regard insistant sur son épouse perdue* >> RACHETE MOI UNE BAGUE AVEC UN GROS DIAMANT EN PLASTIQUE. tu me reserves un truc cool hein déjà, j'ai bidouillé avec ophé pour noa et eva ^^. et donc... soul sera bientot dans la place ! fin j'ai déjà une ébauche d'idée qu'on pourra facilement densifier. et un sujet et un. ouais jte demande pas ton avis.
Apollina - oh des zumelles *-* merci ! et ouais que veux-tu... 8) on a la classe ou on l'a pas. Non non... ça va, ma tête passe encore la porte #BAM#
Reno - Merci ! je connaissais pas le mec que tu as pris en vava ! sympa tout plein !
Soft - Ce putain d'avatar ouiiiiii m'enfin... j'vois que de ton côté, on se fait plaisir aussi ah et jte préviens tout de suite. toi, tu me reserves un rp ouais je sais je sais.. pas encore validée... et déjà 4 sujets prévus.
Daenerys M. Nikolaï
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 21:02
Une connaisseuse en or je dirais. C'est bon, j't'adopte! On va se marier au pays des kangourous et on baisera comme des concombres mexicains (mais attention! La bague, elle doit être en sucre ou au caramel!)
PS; j'adore ce que tu as écrit pour l'instant
Niels Vaughn
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 21:04
Une bombe, un monstre ce Charlie Bienvenue
Charlie Weiss
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 21:12
Mais mais madame vous... je suis outrée ! je... je ne suis pas fille facile ! et merci *-*
Niels - maieuh *couine* merci beaucoup !
Tito Korhonen
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 21:13
Charlie Weiss a écrit:
Soft - Ce putain d'avatar ouiiiiii m'enfin... j'vois que de ton côté, on se fait plaisir aussi ah et jte préviens tout de suite. toi, tu me reserves un rp ouais je sais je sais.. pas encore validée... et déjà 4 sujets prévus.
Normal, on s'refuse rien, voyons. Un RP, évidemment, un truc dingue dans l'imaginaire. Puis, ce que t'as déjà écrit est juste à tomber, rah.
Charlie Weiss
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 21:19
mdr. Et yaip ! moi ça me va super bien ça. Au moins on pourra partir trèèèès loin... Niahah. j'aime. par contre, arme ton ptit Tito d'un équipement complet de footballeur americain... Charlie est un ptit violent =O XD cool que ça te plaise. j'pense pas faire spécialement long. j'éspère pas décevoir tes sombres fantasmes Quoi comment ça y'a pas de fantasmes ?! èé. maieuh...
Noa Wheelock
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 21:32
Mon dieu, ce que tu as déjà écrit est superbe et c'est exactement la vision que j'ai eu de cette relation quand tu m'en as parlé. Bon courage pour la suite ma crotte, et j'la veux rapidement, ok ! J'commençais à m'inquiéter quoi, j't'attendais depuis un sacré bail sur ce forum ! (comment ça il n'a ouvert qu'hier ? è.é) BREF, la suite femme, et plus vite que ça.
Charlie Weiss
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 21:34
*baisse la tête et obéit* oui... oui ma muse *couine*
Roh bah oui oui xD t'es la deuxième à me le diiiire. Le pire c'est que j'avais même pas vu qu'il avait ouvert Oo. M'enfin... j'suis là maintenant èé. ALORS ALOORS CA SUFFIT ! *la mord*
Et cool que ça te plaise *-*. ça va être trop chouette =)
Noa Wheelock
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 21:48
*lui tapote la tête en agitant son sceptre* Bien, bien. Brave bête. ET ON NE MORD PAS SON MAITRE ! Même si je sais que t'aimes ça, coquine.
Et bien sûr que ça va être chouette.
Charlie Weiss
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 23:21
XD je... je fais c'que je veux d'abord ! *boude et croise les bras* Et arf, clairement *-*
Bon sur ces belles paroles. Fiche pas très longue, mais qui reflète bien l'esprit bizarroïde de Charlie Oo jspr que ça ira ! Et donc. Terminé ! =)
Esmeralda Rhodes
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mar 27 Déc - 23:27
bienvenue, quel plume superbe. pis, ton avatar - même si je connais pas l'énergumène - il est ... bref, il fait des choses quoi.
Invité
Invité
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mer 28 Déc - 0:40
Chou, je ne vais pas m'étaler, hein? D'abord, le simple fait d'avoir mêlé Noa à ton personnage et à ton histoire est orgasmique à lui seul, ensuite, relire ton début et repenser déjà à tous tes personnages divins, le tout relié à ton avatar perturbant, c'est le comble. Enfin, découvrir une merveille pareille, dévorer ton texte bizarroïde et pourtant totalement sensé, comme tu as l'habitude de les faire avec tant de talent, c'est exactement ce qu'il me fallait pour ... courir de ce pas t'acheter une nouvelle bague, cent fois plus plastifiée, sans fois plus pailletée, et, cette fois, made in india. MARRY ME. Validée, validée, validée, validée, validée (...) et tu es dans l'obligation de m'écrire pour parler de notre lien et futur(-proche) rp.
Charlie Weiss
Sujet: Re: BURN BABY BURN Mer 28 Déc - 1:00
AAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! *lui saute dessus et l'attache au lit* Merci merci merciiiiii *-*. pour la bague. le reste, on s'en fout faut être honnête ! XD Je dis ouiiiii ! *va appeler alex et ophé pour leur demander d'être demoiselles d'honneur. ouais meme alex pas de chichi, il mettra une robe rose c'tout èé. *
Non mais t'es trop choupi ma ptite chérie *-*. trop contente que tu aies aimé ! Et yep, le pire c'est que pour Noa est sa soeurette, c'est venu en genre 15 minutes. tac tac sur msn. les idées fusent avec ophé et hop. c'est parti mon coco XD Sérieusement, ça fait trop plaisir. Puis que veux-tu, j'aime les gens pas bien dans leur tête ils sont trop chouettes ! Contrairement à moi, qui suis très saine. Qui a rigolé ? èé. Bref, que du bonheur. tu me combles. TU ME COOOOMMMBLES. sauf sur le plan sex.... Humf. après le mariage oui j'oubliais pardon... Et tkt pas, j'vais lui faire sa fête à ton dragan bis tu vas rien comprendre