ENDLESS WALTZ
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 (andrea) The bonfire of the vanities

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Andrea Y. Keaton

Andrea Y. Keaton




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MessageSujet: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities EmptyJeu 22 Déc - 10:22

Andrea Yaniv2 Keaton

'Dea, Ani →
Né le
ne s'en souvient plus
(environ vingt ans), à
ville de naissance inconnue
(Etats Unis) →
Américain →
Bâtard →
Célibataire →
Bisexuel →
Whore →
SHADOW OF THE ILLUSION.



AVATAR ©️COPYRIGHT
« Dying world of radiation, victims of mad frustration, burning globe of oxy'n fire. OXYGEN. Like the electric funeral pyre. »


WE'RE ALL FUCKING MAD HERE. « OVERDOSE. Parce qu'il faudra bien que je crève de quelque chose, et qu'un jour, je serai déjà trop défoncé pour m'apercevoir que ma ligne de blanche est trois fois plus longue qu'à l'habitude ou que j'vais m'avaler une poignée d'anti-dépresseurs ou de valium, forcer sur la PCP ma grande favorite, juste pour voir ce que ça fait de dépasser ses limites, de vivre en façon haute voltige comme dans les films. Parce que tout ce qu'on me tend, tout ce qu'on me dit d'avaler, ou de sniffer, je le prends comme si le prêtre m'avait tendu l'hostie. The pope of dope. COMA ETHYLIQYE. Tu sais justement, à l'église, quand ils te donnent leur hostie dégueulasse, il te tendent un peu du sang du Christ pour faire passer le tout, alors une grande rasade de vodka pure dans une coupelle en argent, ça revient au même non ? Et quand la coupelle est vide, tu t'attaques à la bouteille, cachée sous la soutane d'el pape. Vu le nombre de fois que j'ai terminé la tête dans le caniveau à même plus me rappeler du nom des choses m'entourant, il arrivera bien un jour où j'me relèverai pas. MST. T'enlèves les pilules et tu planques la vodka, le seul truc qui va me motiver c'est le cul. Alors bouge toi de là, que je te montre comment on se serre une nana. Les sentiments ? Que dalle, je gerbe sur cupidon et préfère baiser sa mère. Who's your daddy ? Seulement parfois, il arrive de se tromper de chemin dans la forêt vierge, de louper un virage et d'arriver dans un putain de marais dégueulasse avec plein de maladies en tout genre. Alors je vais pas donner mon sang quand ils font la collecte, je leur évite le temps perdu à analyser des cellules déjà pourries. MEURTRE. Pourquoi est ce que quelqu'un voudrait me tuer ? Parce que je ne suis pas vraiment aimé, je traîne un tas d'emmerdes derrière moi et c'est comme si je décidais du cadeau empoisonné en dessous du sapin de chacun. Il y en a qui aime pas et j'me fais souvent casser la gueule en bas de chez moi. Suffit qu'un jour ça tourne mal et il y en ait un qui sorte son cranté et on dit adieu à la gueule d'ange. SUICIDE. Et puis je pourrais les aider, voire même mieux, je pourrais tous les baiser ces connards qui me refilent pilules sur pilules, bouteille sur bouteille en attendant de me voir crever la bouche ouverte. J'pourrai faire un gros truc qui ramènerait les médias, du genre sauter du haut du toit d'un lycée. On chercherait un symbole derrière mon suicide, les psys pourront déballer leurs conneries sur l'instabilité des adolescents, les opposants politiques viendraient pour dénoncer les conditions dans lesquelles on laisse les étudiants, les élèves en seraient choqués à vie en se demandant s'ils n'auraient pas pu me sauver, trouver plus tôt ce qui n'allait pas ... et le p'tit Jésus et moi, on se marrera bien à vous regarder vous poser des questions. Parce que si je me tue un de ces quatre, ce sera pour vous emmerder et vaincre l'une des quatre morts qui me sont prédestinées. Et puis … peu importe, faut bien crever à un moment de toute façon. »


Wanderlust/Raphaëlle→
Vingt ans ans sous peu →
Tous les jours si Dieu le veut (et il le voudra ) →
Bouyakasha I love you


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Andrea Y. Keaton

Andrea Y. Keaton




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MessageSujet: Re: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities EmptyJeu 22 Déc - 10:22

LABYRINTH OF DREAMS.



©COPYRIGHT
« Come with me let's get together in my comic strip. Let's talk in bubbles let's go BANG and ZIP. Forget your troubles and go SHEBAM. »


DREAM. Néant. Le calme, le moi absolu. J'laisse les vieilles chimères derrière moi. Je dis bye bye à l'enfoiré de cinglé qui paralyse ma vie. Je me détache de l'enveloppe et vole, quitte la sphère de l'acceptable, de la bienséance, du on peut plus qu'on ne veut. Le sang ne ternie plus la route, les murs gris se sont effondrés, l'asphalte s'est métamorphosé en couche verdâtre, couleur infinie qui s'étend sous mes yeux. Le hasard éclaire ma route, et j'souris doucement, front collé contre la vitre froide du bus. « Tu vas où gamin ? » Je tourne légèrement le visage vers ma gauche, vieillard aux rides saillantes, à la mâchoire aux dents dégarnies qui me dévisage avec son air serein, son air de vagabond. Dans ses pupilles, on peut voir la vie, dans ses pupilles on peut voir le voyage, on peut voir l'ailleurs. Ce n'est plus le néant qui s'y dessine, c'est l'infini. Une beauté éphémère et précieuse. Freedom. Je sors de cette vie pour sauter pieds joints dans une nouvelle. « J'me tire le plus loin possible d'ici. » Il rit, ses yeux se plissent, et ses pommettes dansent au rythme d'ce son qui se propage. Je ne sais pas pourquoi, j'brise la couche de terreur, je me remplis de calme, et ris à mon tour. J'sais pas vraiment dans quelle direction avancer. Pour dix dollars, je m'envole vers l'inconnu. « Tu verras comme l'on s'amuse gamin. » Oh boy, tu verras comment c'est au bout du monde. Mon regard scrute de nouveau le paysage ; mon reflet est confus, les couleurs éclatent. Soleil à son zénith, les arbres aux feuilles plus vertes que jamais se teinte d'orange, de violet. Le ciel grisâtre se métamorphose en infini tacheté de pourpre, de doré. Sans barrières. Douleur diffuse, elle gangrène le cœur, souille les veines, mais ne nous tuera pas. Je me terre dans les ruses, annihile le passé, le refuse, lui présente mon dos. Fin de l'histoire, le gamin à la chaire massacrée reste toujours debout, sur ses pieds nus.


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Andrea Y. Keaton

Andrea Y. Keaton




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MessageSujet: Re: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities EmptyJeu 22 Déc - 10:22

THE BUG.



©COPYRIGHT
« On s'apprivoise à toute étrangeté par l'usage et le temps; mais plus je me hante et me connais, plus ma difformité m'étonne : moins je m'entends en moi. » Montaigne.


NIGHTMARE. J'traine des pieds, le bruit de mes pantoufles raclant le sol se cale au son des tic tacs de la grosse horloge du couloir. Un grand engin en bois que j'ai toujours voulu cramer, pshit et on n'en parlait plus, de ce son à m'en faire piquer des crises d'angoisse en pleine nuit. Toc et toc répété sans cesse, la boucle infernale du temps dans une boite de bois. Doigts frôlant le papier peint, comme un aveugle qui tente de se repérer dans une maison qui lui est inconnue, j'tourne dans tous les sens pour débarquer dans la cuisine. Clic et la lampe de chevet que Martha avait installée prêt de l'évier s'allume. Lumière apaisant quelque peu la pénombre, je lâche enfin mon mur, traversant sans le moindre bruit la salle pour attraper un des verres. Je tends le bras vers l'étagère, me hisse sur la pointe des pieds à m'en compresser les orteils pour choper ce foutu gobelet. J'peux le faire sans ramener le tabouret maintenant, je me souviens qu'une fois, j'étais tombé en arrière. Martha avait été obligée de m'emmener à l'hôpital, en pleine panique. Elle répétait sans cesse que le Bon Dieu m'avait puni, mais qu'il serait agréable de sa part de ne pas m'avoir brisé les cervicales pour m'être levé en pleine nuit sans autorisation. Blam. J'crispe mes doigts sur le verre, serre les dents en fermant les yeux, comme si le ciel s'écroulait sur ma tête. Et .. maow. Génial, Vince me dévisage avec son air d'abruti, les oreilles tournées vers l'arrière. Le chat qui se prenait pour le roi de la jungle. Attention, nous nous tenons face à face avec un Tigre du Bengale au poil gris. La terreur du quartier, le chat de garde des Keaton. Il siffle, miaule un nouveau coup et je limite, me retenant d'éclater de rire en fronçant les sourcils. T'es con mon pauvre Vince, faut croire que toutes les personnes sous ce toit virent maboule à un moment ou à un autre. D'un mouvement de main je vire le félin, tourne le robinet pour remplir le verre. Gorgée avalée, je vide le reste dans l'évier, pose délicatement le verre sur la face plane. Flash lumineux, j'ferme les yeux quelques secondes. La lueur m'éclate la rétine. Coup d'œil levé vers la fenêtre, j'aperçois la masse informe debout dans l'encadrement de la porte. Elle fait quatre fois ma taille. Non, cinq. Une grande masse noire, qui dévoile sa rangée de dents acérées. J'agrippe le rebord de l'évier, fermant les paupières à m'en faire mal, tête baissée en direction du sol. J'faisais que boire un peu d'eau. La forme bafouille mon prénom, m'appelle. Non, non, pas maintenant. Un choc glacial court le long de ma nuque, éléctrise mon dos, vient liquéfier toute forme de courage et mon estomac se tord. Les mains pourtant bien accrochées à leur support partent en saccades, tremblements incessants, irraisonnés. Martha m'avait dit de ne pas croire aux monstres, qu'ils n'existaient pas. Si je ferme fort les yeux, que je leur dit de s'en aller, que je leur hurle de ne plus jamais venir, ils me laisseront tranquille. Les monstres, c'est dans ta tête mon cœur. Dans ta tête Andrea, écoute la, écoute Martha, arrête de te comporter en gamin déboussolé. Va t'en. Le rugissement se meurt en murmure indistinct, l'espoir fugace se noie devant la réalité transcendante. La forme est toujours là, pose sa main aux doigts plein de griffes sur mon épaule. Il répète encore une fois mon prénom, rigole comme si mes espoirs étaient la meilleure blague qu'il ait pu entendre aujourd'hui. Retourne te coucher mon garçon. Le choix n'est pas possible, il faut céder. Je me retourne, le visage bas, les yeux parcourant le sol. Chemin inverse, la porte de la chambre de Martha claque violemment, et le monstre me suit, pressant doucement mon épaule. Tout ira bien, les monstres ne vivent que dans ta tête Andrea. Ma chambre perd de sa chaleur, tout semble froid et figé. Le son de l'horloge ne parvient plus, remplacé par le claquement de mes tempes, raisonnant sur un rythme monstrueux, secouant les neurones en paralysant toute pensée logique. Le monstre me mange la tête. La porte claque. Le monstre mange mon cerveau. Je tombe sur mon lit. Le monstre rit, il souffle. Déconnecté, quelque part dans ta tête. Mironton, mirontaine, prends l'arme de ce héros. Puis, en vrai croquemitaine, tu feras peur aux marmots.


Dernière édition par Andrea Y. Keaton le Lun 26 Déc - 0:42, édité 4 fois
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Andrea Y. Keaton

Andrea Y. Keaton




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MessageSujet: Re: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities EmptyJeu 22 Déc - 10:23

DIRTY PLEASURE.



©COPYRIGHT
« Fantasies are more than substitutes for unpleasant reality ; they are also dress rehearsals, plans. All acts performed in the world begin in the imagination. »


FANTASY AND REALITY. Vide moi la tête, fais rouler mes neurones sur le sol, fais moi éclater la membrane, couler le noeud autour de ma gorge, fais moi sentir vivant, quand elle m'échappera. Les beats lourds d'une musique electro font trembler les murs de ma piaule. Le papier peint s'barre à moitié, la voisine hurle à s'en déchirer les cordes vocales, frappe sur son mur pour que la musique cesse. Va chier salope. Je m'applaudis. Seringue coincée entre l'index et le majeur, j'erre dans la chambre, me prenant les pieds dans les coussins balancés sur le sol, les restes de bouquins jamais lu, placés ici pour faire genre. La lampe de chevet clignote par saccades, éclairant à demi la pièce plongée dans le noir. Jour ou nuit, qu'importe, j'perds le fil du temps. Léger coup d'oeil en direction des volets tirés, des stries lumineuses percent les plaques ébènes. A genoux devant le lit, j'me laisse retomber à genoux sur le matelas, allongeant le bras pour choper le pochon de poudre. Seringue a usage unique coincée entre les lèvres, j'enlève mon t shirt, attrape une ceinture pour la serrer au dessus du creux de mon coude. Les veines souillées ressortent légèrement, sinueuses, violacées, gangrénées. Rotten. Allez mon pote, va plus loin cette fois. Ta gueule. J'ai l'impression que mes yeux vont se détacher de leurs orbites, tomber comme deux boules de billards sur le sol, soulager mon crâne du poids d'cette fatigue intenable. Mon visage hoche légèrement, au son des boom boom crachés par les enceintes. Tu me fais marrer. Ferme la putain. J'attrape le mélange, tire la seringue pour faire passer le liquide et dépose le tout sur le matelas. J'dégringole de mon lit, tourne un peu plus le volume de la chaîne, couvrant les bruits émis par la voisine, la voix qui me perce la tête. Wanna, Wanna. J'ai l'impression qu'le chanteur hurle à l'envers. Une bouillie verbale, crachée à pleine puissance. J'ai le crâne scié en deux, la musique est trop forte, l'ambiance étouffante. Retour sur le lit, je plaque mon dos nu contre le mur glacé, agrippe la seringue. Veine repérée, j'presse. Climax. Dix milligrammes et j'tombe dans le voyage euphorique. Vingt et j'perds le contrôle. En roue libre, psychose toxique. J'laisse entendre un long gémissement, relevant le menton en fermant les paupières. Semblable à un orgasme, les effets montent progressivement jusqu'à attendre l'apogée. L'Odysée de la terreur, j'ai l'impression que tout se brouille, que chaque parcelle du conscient se barre à des kilomètres. La raison est entachée par une boue noire et visqueuse, brûlante. J'suis dans ce monde, tout en étant ailleurs, dans un autre. Les murs se rapprochent, les beats m'oppressent. On dirait des coups de poignards m'transperçant le corps de toute part, sans pour autant le meurtrir - physiquement -. Ani ? « Laisse moi tranquille. » J'ramène mes genoux contre ma poitrine, les entoure d'un bras. J'serre la peau, enfonce mes doigts aussi fort que j'peux mais rien, encore rien, aucune sensation. Une foutue angoisse grimpe, ronge mes intestins, brouille mon esprit. Bam, la vieille recommence. Elle hurle, hurle encore. Les murs se rapprochent, la lampe clignote, le lit tremble. Sors. Je n'ai pas envie de sortir bordel. J'en peux plus de ce foutu bruit, j'en peux plus de cette foutue bonne femme. Moi non plus. Qu'est ce que tu attends. Non, je n'ai pas envie de bouger. Je laisse entendre une nouvelle plainte, basculant vers l'avant, front posé sur le matelas, dos courbés, les mains empoignant les mèches de cheveux. BOUGE. Le hurlement transperce la carcasse, s'élève au dessus de la musique, au dessus des coups balancés par la voisine. Laissez moi dormir putain, j'veux juste dormir. J'veux juste que le bruit cesse, que les murs arrêtent de me retenir prisonnier. Tu sais quoi faire Déa. J'finis par me redresser, essuyant ma pommette du revers de la main. J'claque la porte de ma chambre, longe le corridor tête baissée, mains agrippant mes deux bras. J'me poste face à la porte de la voisine, retenant une sorte de sanglot, le nœud dans ma gorge se resserre à nouveau et j'me sens étouffer. Frappe. J'frappe. La musique fait trembler ses murs. Elle débarque, grosse vache en tablier, m'attrape par le col en hurlant, en crachant par vague sur mon visage. Grosse vache en tablier. J'pénètre dans son appartement, balancé par la dingue. Elle retappe la table de sa cuisine, observée par le cadre photo contenant deux enfants gras, souriant. Elle gueule à n'en plus finir, j'perd pieds, j'perds la tête. Mes doigts glissent sur la table, j'fais tomber les clous, j'serre le manche du marteau. L'angoisse se barre, j'crispe la mâchoire. Le bruit m'énerve, transforme la panique en rage. La voix, les hurlement, les beats, la musique, mon prénom, les boom boom, les murs qui tremblent. La paix.
Défonce lui le crâne.

UC


Dernière édition par Andrea Y. Keaton le Lun 26 Déc - 13:58, édité 19 fois
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MessageSujet: Re: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities EmptyDim 25 Déc - 23:49

J'me dis que ça sert à rien que j'me tue en compliments, j'ai l'impression de me répéter en ce qui te concerne, Raph. (andrea) The bonfire of the vanities 1378973249 amen à ce début de fiche totalement exaltant, et bienvenue à la maison. I love you
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Tito Korhonen

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MessageSujet: Re: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities EmptyDim 25 Déc - 23:50

Souleyman Slijper a écrit:
J'me dis que ça sert à rien que j'me tue en compliments, j'ai l'impression de me répéter en ce qui te concerne, Raph. (andrea) The bonfire of the vanities 1378973249 amen à ce début de fiche totalement exaltant, et bienvenue à la maison. I love you

J'aurais pas dit mieux. (andrea) The bonfire of the vanities 2598960201 T'es chez toi, Raph. I love you
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MessageSujet: Re: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities EmptyLun 26 Déc - 0:06

Merci les filles (andrea) The bonfire of the vanities 1261061888
J'suis contente d'être là, sur cet ovni du monde rpgique (andrea) The bonfire of the vanities 3827031138
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MessageSujet: Re: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities EmptyLun 26 Déc - 13:32

ASH. (andrea) The bonfire of the vanities 2598960201 (andrea) The bonfire of the vanities 2833161931 I love you
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MessageSujet: Re: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities EmptyLun 26 Déc - 13:59

C'est mon bébé (andrea) The bonfire of the vanities 3827031138 (andrea) The bonfire of the vanities 4244696355

Oh, je ne connaissais pas Anya, tu viens de me la faire découvrir. Jolie trouvaille (andrea) The bonfire of the vanities 1261061888
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Maganda Rivers

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MessageSujet: Re: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities EmptyLun 26 Déc - 14:03

Oh, alors contente de te l'avoir faite découvrir. Peut-être qu'il nous faut un lien. (andrea) The bonfire of the vanities 3563782329 (andrea) The bonfire of the vanities 2598960201
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Andrea Y. Keaton

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MessageSujet: Re: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities EmptyLun 26 Déc - 20:25

Le lien va se soi (andrea) The bonfire of the vanities 3563782329
Et sur ce, fiche terminée ♥️
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Tito Korhonen

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MessageSujet: Re: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities EmptyLun 26 Déc - 21:22

Que dire, mis à part : je l'aime ? (andrea) The bonfire of the vanities 2598960201 Et j'sens que je vais toujours confondre le prénom avec Pride. What a Face
Fiche superbe, j'ai adoré le cauchemar, tout particulièrement. I love you

Validée sans la moindre hésitation, grosse loutre. (andrea) The bonfire of the vanities 3885959180
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MessageSujet: Re: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities EmptyMar 27 Déc - 10:02

Merci grande morse (andrea) The bonfire of the vanities 2184292159
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MessageSujet: Re: (andrea) The bonfire of the vanities   (andrea) The bonfire of the vanities Empty

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