ENDLESS WALTZ
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 GYPSIE SUICIDE.

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MessageSujet: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. EmptyVen 30 Déc - 2:08

bisha wajs [wai's]

păpuşă →
née le
13/02/1989
(22 ans), à
kukës
(albanie) →
nationalité albanaise →
origines tziganes →
bourreau sentimental →
hétérosexuelle →
péagiste sur autoroute →
so fucked up inside.



josephine skriver ©SHINEDOWN
Mille et unes nuits aux odeurs de mélancolie
Chansons des veilleuses de minuit
De ta voix dorée, fais encore résonner, parmi les murailles blanches
Le son de ton cœur.


MAÎTRESSE DES SONGES CHARNELS. « La lune laiteuse sort sa dentelle et pose un pied sur la terre qui gonfle. Les mains des gitans frappent contre les tambours de peau tendue, odeurs de lait étoilé brûlant au coin des feux qui illuminent les terres de nos ancêtres. Entre les montagnes et les cimes des arbres endormis, Rom, comme un seul homme, lève ses jambes et saute au rythme des chants des femmes qui résonnent dans la nuit. La lune sourit. Fête tzigane, danse de la vie, jamais ne finit. Les enfants ne secouent que la tête sous les jupes des mères qui frappent dans leurs mains en balançant leurs boucles noires, les cris des gitans s'envolent bien haut dans l'univers, font danser les étoiles quand le soleil n'est pas là. Au son des pieds qui frappent en cœur la terre, le sol se soulève et respire, les racines ondulent et les herbes se trémoussent, Rom danse la naissance, le chemin, la mort, le regret. Rom pleure et déplore, crie aux éclats et sourit à la lune qui rit de son manège. L'enfant regarde de ses yeux blonds les hommes aux violons, si sérieux, dont les pieds battent la mesure avec amour contre les restes du chemin des anciens. L'enfant n'ose pas, aimerait bien, la lune le prend par la main. Rondes des tziganes à donner le tournis au soleil, les jupes virevoltent, les pas creusent la terre car rien n'est plus important que de laisser la trace de son pied sur le sol prêt à l'accueillir depuis le tout premier jour. À jamais. Toujours plus loin. Au son des musiques tziganes, Rom avance en dansant, saluant les étoiles aux longs cils qui accompagnent sa route, Rom jamais ne s'arrête. Rom emporte avec lui la vie et les histoires de son peuple, les histoires qui font tourner le monde.

Frappez encore de vos mains couleur soleil, vos yeux rieurs faisant de l'ombre à la lune, animaux du bonheur, frappez encore vos pieds sur le sable, vos courbes entraînées par le vent, éternelles musiques de la terre. »


prout →
canonique →
nights →
ew n'a rien à prouver.


Dernière édition par Bisha Wajs le Ven 30 Déc - 3:30, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. EmptyVen 30 Déc - 2:21

THE BUG.



Il ne faut pas pleurer, des rondes du passé, chaque soir, la fée à son effet. păpuşă danse, pieds nus dans les flaques de lune, sa jupe tournoyant au-dessus de la terre, criez encore, gitans de la nuit, l'enfant, jamais n'arrête, sa danse de la vie.


- Tu devras t'expliquer devant le Baro Shero. Après tout, à force de trainer avec les gadje, tu es peut-être mahrime, qui sait?

Le regard clair de la blonde minuscule griffe d'un coup sec le visage de Dritta, comme si elle avait voulu le déchiqueter des prunelles. Elle sait que la brune prend un plaisir pervers à la tourmenter, à lui annoncer l'inévitable. Pactiser avec les non-tizganes représente le déshonneur suprême, surtout pour les Mechkari dont elle fait partie. Bisha sent le regard de Djivan, posé sur son visage alors qu'elle remonte le chemin de terre, autrefois bordé de fleurs pâles, à présent aride et déserté de toute vie végétale. Bisha a été mariée à Dji à quatorze ans, alors que Dji en avait seize. À présent que Bisha a dix-sept ans, elle n'a toujours pas d'enfant. Stérile? C'est ce que pense sa mère éplorée. Un jour, bientôt, Djivan la quittera pour fonder un véritable foyer, Bisha le sait. Et malgré son visage de fille de l'Est, son surnom bien mérité de spiuni gjermani, à cause de sa différence de teint comparé aux autres femmes du groupe, son mètre soixante ne fait pas d'elle un mannequin. Les enfants entourent ses pas des leurs, déposent des baisers de leurs iris noirs contre ses joues rosies. Bisha a seize ans, et le monde de l'enfance est déjà bien loin derrière elle, enfermée avec la poupée qu'elle cache dans une valise usée sous son matelas, dans la maison de sa belle-mère. Mais Bisha a un autre secret. Nuzi.

Et tu pourras dire à qui tu voudras, que ce n'est qu'une histoire...

Nuzi est un gadjo. Ça veut dire qu'il est albanais, mais pas tzigane. Ça veut dire qu'il n'est pas des nôtres. Ça veut dire qu'il n'est pas fréquentable, et qu'il ne mérite que le mépris. Mais Bisha n'y peut rien, elle, si les yeux de Nuzi la rendent belle, si sa voix dans son oreille s'écoule en elle comme un fluide plein de chaleur. Les autres filles sont jalouses et effrayées. Les hommes sont méchants. Et Nuzi ne veut pas quitter sa famille. Mahrime. C'est la seule chose que le Baro Shero a déclaré avant de lui donner congé. Impure. Le visage de Jeta en larmes. Les yeux secs de Djivan. Les paroles vides de Nuzi. On a fait les valises de Bisha, dans lesquelles on a glissé sa poupée d'enfance, et le monde s'est effondré.

Et tu pourras dire à qui tu voudras, que ce n'est qu'un cauchemar...


J'erre sur les chemins inconnus et hostiles, loin des miens. Mulo suit mes pas comme une ombre effrayante, et me voilà à nouveau solitaire. La route est longue loin du foyer et du feu de cheminée, mais la luna guide mes pas. Parfois, dans les forêts noires, j'entends les cris des âmes qui se sont perdues dans les ténèbres, mais je sais que les cailloux roulent sous mes chaussures et me portent toujours plus loin, car tel est mon destin. Je ne m'attache à rien, je suis le vagabond dont personne ne veut, et l'histoire, toujours, continue. Les paroles des anciens volent avec le vent et gravent les arbres et les chemins des souvenirs de mon peuple. Rom me porte sur ses grandes épaules, et le temps est plus doux. Hélas, je reste le voyageur sans maison dans la terre et sans racines, mais la luna guide mes pas. Ma-sha-llah.
(extrait d'une vieille chanson gitane)


Dernière édition par Bisha Wajs le Ven 30 Déc - 2:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. EmptyVen 30 Déc - 2:29

LABYRINTH OF DREAMS.



Éclatantes couleurs des sourires ravis, quand dans les yeux résonne le bonheur, j'ai les paumes moites de ton odeur, le goût de ta langue sur mon cœur, qu'importe si la douleur a ses heures, on ne pleure pas à la rancœur.


Sœur des étoiles les parvenues, trémoussant leur brillance insolente parmi le noir des regards désespérés, la lune rousse se penche pour verser l'élixir de ses tétines et inonder les sillons de veines des âmes en peine. La femme aux cheveux courts se baisse pour lasser ses bottines, la brune à la longue tresse attache ses bas de crème, à la lueur de la lune mère, les junkies du bas des rues sortent des caves pour emplir leurs narines du sel amer de la nuit. La poitrine de la ville se soulève lentement, sa respiration se fait lente, excitée, le vent se tortille sensuellement entre les rues endormies, comme un damné qui cherche en vain la sortie de son mal. Les ivrognes encapuchonnés sillonnent les ruelles de pavés emprunts du sang du soleil, assassiné chaque jour par la malédiction de la femme blonde, les talons des filles de joie écrasent sur la mousse les cœurs des infortunés qui les ont aimées, percent les amours morts-nés.
Les derniers échos du gospel résonnent entre les réverbères fades, mélodies sans âge échappées de l'église, perdues jusque dans les yeux clos des enfants sages. Dieu souffle doucement la bougie près de son lit et remonte son drap de soie blanche jusqu'à son menton lisse. Les trappes des entrailles de la terre s'ouvrent au milieu de la musique des anges qui désobéissent. Les cortèges du Diable sonnent leurs pas invisibles du fond de la terre, les démons de minuit sortent à l'air libre et laissent la lune jouir contre leurs visages livides, leurs cheveux séchés couleur feu s'emplissent de son liquide ; brillent enfin. Les yeux couleur terre brillent de la lumière de l'espoir. Cavaliers, les anges du ciel viennent donner le bras aux démons du dessous. Et quand le tambour se met à sonner les douze coups de la fête, les prostituées ont enfin terminé leur toilette. On n'aime pas la nuit, on la vit.

Les couples de la nuit sont versatiles. Les regards ternes des hommes et des femmes de la ville sont teintés d'une lumière douceâtre lorsqu'ils glissent le long des jambes brunes des filles du soleil, lorsque leur main se desserre peu à peu de celle de leur partenaire. La nuit ressemble à l'âme, sinueuse et torturée, légère et prête à tout aimer, les fleurs des esprits enchantés éclatent d'un bond dans le purin des ruelles, infinies coupes gorges lorsque les enfants ferment leurs yeux devant la misère des hommes. Lorsque les femmes pleurent aux amours perdus, la lune éclate de son rire de jeune fille, et quelque part, un homme joue de la guitare aux étoiles, étranges créatures, pour qui la nuit est une fête, et jamais un éternel instant, une heure de répit avant que reprenne le cours de la vie, un doux moment. Là, dedans la lumière, il y a une femme qui danse, sa robe blanche emporte avec elle les maux de la terre, les cicatrices des hommes, les larmes des enfants. Dans les caves, sur les places où jamais la musique ne s'arrête, quand les princesses s'endorment en rêvant aux jours charmants, les âmes de la nuit se réveillent pour danser la vie. Les seins de la lune renversent leur élixir laiteux sur les cheveux des danseuses, referment les plaies des pleureurs. Une âcre odeur de sensualité dans ce fourneau d'hommes et de femmes. Je ne peux vivre que la nuit, aux sons des guitares, aux fleurs des âmes. Les talons des jeunes filles peuvent faire trembler les pavés, les mains frappées des jeunes hommes font frissonner les planchers, quand les effluves de la nuit en sont à leur puissant paroxysme. En général, c'est là que je m'échappe. Ses mains ne finiront pas par me toucher, je glisse une autre fille entre ses bras, je file dans la nuit noire, misérable voyageur de la nuit, toujours parti avant l'orgasme final de l'orgie abyssale.
Le cœur n'est pas rassasié des bontés de la nuit, avaler de si bas le bon lait de minuit, m'enivrer de sa lumière mordorée, mes pauvres sens ont besoin du toucher. Je me retiens contre les tables, les épaules contre celles des frères, tout me semble trop vrai, si matériel, je m'appuie à du bois, des chairs, mais l'alcool de la lune demande plus qu'hier! A suivre les sentiers, s'éloigner de la foule, les chemins de la nuit sont bons pour les enfants, tu dis? Qu'importe, si mon bâton puéril amuse les vendeurs de temps, si mon sac à dos de voyage fait rire les cailloux des rivières, les portes des ténèbres s'écartent quand passe l'enfant du soir, les plumes brûlantes des oiseaux de l'enfer s'envolent dans le noir. Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées... Mais enfin! Nous n'avons plus peur de la nuit noire, depuis que dans les ténèbres du soir, les portes de fumées des enfers avalent lentement le monde et sa lumière.

Quand Dionysos, aussi ivre de la lune que le Diable, sonne la fin de la nuit, les enfants de minuit regagnent leurs tombes de fleurs pâles. L'océan de la terre se vide doucement, comme d'une baignoire, le monde imbibé de rêve nocturne avale peu à peu les kilomètres d'eau, sillonnant dans ses veines, entrant en lui comme dans une éponge, litres de morphine apaisant la douleur de ses songes. Les confettis trempés de la veille jonchent les pavés humides, il ne reste de l'océan de la nuit au matin, que la rosée des fleurs, les larmes des catins.


Dernière édition par Bisha Wajs le Ven 30 Déc - 3:23, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. EmptyVen 30 Déc - 2:29

DIRTY PLEASURE.



Jamais ils ne verront à travers ces tissus ton masque famélique. Jamais ils ne verront les traces invisibles de ces mains anonymes, ces étoiles de mer mortes.


Elle se couche contre lui et ronronne. La bonne mère. Elle vit dans ce qu'elle croit, elle croit ce qu'elle voit dans ses rêves. Tout comme le tzigane ne se sent jamais chez lui nulle part, Bisha ne se sent pas vraiment chez elle quand elle entre en Tito. Elle y est, c'est tout, et elle compte bien y rester. Sa petite langue rose glisse contre sa jambe tendue par l'effort qu'il fait pour garder le contrôle. Elle sourit de toutes ses dents blanches – les dents des jeunes tziganes sont toujours blanches, bien qu'ils ne les lavent que quand le besoin s'en fait ressentir, du gros sel contre le doigt – et caresse du bout de l'index le dessous de sa cuisse. Bisha va embrasser chaque centimètre du corps de Tito de ses lèvres perlées, commencer par le bas et monter vers le haut, jusqu'à ce que la respiration de Tito se fasse sifflante et qu'elle finisse par se couper brutalement. Jusqu'à ce que, en éruption totale, Tito se redresse d'un bond et la supplie de l'avaler tout entier. Alors Bisha éclatera d'un grand rire, et sa bouche s'ouvrira grande, et Tito plongera à l'intérieur des parois roses et humides de son intérieur. Bisha rira, et son rire résonnera contre les murs du monde, brisera le cristal trop sérieux de la vie.

Mais le rire de Bisha est un rire d'effroi face à l'univers qui la laisse, seule au milieu de l'immensité sans vide et sans fond. Sans sa famille, Bisha voit bien plus loin que la terre, elle voit l'espace et les planètes, les galaxies et le temps qui se fige, elle voit les étoiles qui meurent, et ça lui fait peur. Dose, pense à ta dose, prend ta dose et recroqueville toi dans ta cabane de plastique éclairée par les phares des voitures qui s'en foutent. Là, au milieu des routes où les âmes filent vers un autre bonheur, un monde plus heureux de l'autre côté des frontières, elle tremble et ravale ses pleurs. Elle murmure maman, maman, maman, reviens me sauver. Elle se replie sur elle-même, elle voudrait faire chemin inverse, revenir en arrière, plonger à nouveau dans le liquide chaud et sa lumière ambrée, dans l'avant-vie où tout n'était que sensations. On lui dit qu'elle est folle, qu'il est temps de grandir, que la vie n'est pas si terrible. Bisha, fleur arrachée bientôt fanée a la peau grise. Elle n'avouera jamais que c'est la drogue. Elle dira qu'elle a besoin d'eau.

Bisha glisse dans ses cheveux de franges de lavande pâle et des pièces d'or bosselées. Bisha regarde dans le reflet ses yeux vides que personne ne saurait voir. La main de Tito enserre doucement sa taille et ses lèvres se posent contre sa nuque tremblante. Elle sursaute, se brise à l'intérieur, puis sourit sans joie. Tito ne sait pas faire la différence. Elle pose ses doigts contre les siens, réchauffant son ventre froid, et Tito danse sur place, ondule tout contre elle. Bisha voudrait que la terre s'arrête, mais elle danse aussi, se laisse entrainer dans la ronde et tourne quand Tito la fait passer sous son bras levé. Ses cheveux blonds strient l'atmosphère et ses lavandes tombent à terre. Sans les voir, Tito les piétine et l'attire contre lui, un sourire dans les yeux. Elle sait qu'il croit qu'il est heureux. Elle sourit et l'encourage, il l'entraine contre le lit blanc qu'elle venait de faire, et Bisha disparaît. Son fantôme câline, susurre, soupire et frémit, son fantôme gémit et jouit en un souffle blanc, mais Bisha est déjà bien loin, sur les routes déjà parcourues. Ses yeux sans pupilles fixent l'horizon et attendent un soleil nouveau, là bas vers le fond.
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Zero Easton

Zero Easton




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MessageSujet: Re: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. EmptyVen 30 Déc - 9:06

rebienvenue alors GYPSIE SUICIDE. 2953299389 hum, avec Joséphine, je serais tentée de penser Manon, mais vu la façon d'écrire, plutôt Alizé ? pas sur
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Reno Sterv

Reno Sterv




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MessageSujet: Re: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. EmptyVen 30 Déc - 9:52

al. GYPSIE SUICIDE. 3563782329 rien qu'au pseudo, al. Arrow et aussi ce que tu l'avais dit sur foc, comme quoi tu voulais la jouer. look (et j'ai demandé à manon sur msn hier.)
bref, rebienvenue. GYPSIE SUICIDE. 3827031138
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Apollina N. Nikolaï

Apollina N. Nikolaï




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MessageSujet: Re: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. EmptyVen 30 Déc - 11:25

Bienvenue I love you
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Noa Wheelock

Noa Wheelock




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MessageSujet: Re: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. EmptyVen 30 Déc - 16:35

Ton cauchemar est une pure merveille. Je soulignais les passages à citer et je me suis rendue compte qu'autant te parler du passage entier. Mais où donc pêches-tu toutes ces métaphores, elles sont sublimes et on en pleurerait. Tu as bien fait de dire oui ! Sois mon bourreau pour l'éternité. amen
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Niels Vaughn

Niels Vaughn




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MessageSujet: Re: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. EmptyVen 30 Déc - 19:36

je plussoie noa, j'en avais des frissons de te lire GYPSIE SUICIDE. 2982522762
même pas besoin de te souhaiter la bienvenue chez toi, fais-nous rêver GYPSIE SUICIDE. 830152195 amen
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Asur Alyënl

Asur Alyënl




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MessageSujet: Re: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. EmptyVen 30 Déc - 20:41

Noa Wheelock a écrit:
Ton cauchemar est une pure merveille. Je soulignais les passages à citer et je me suis rendue compte qu'autant te parler du passage entier. Mais où donc pêches-tu toutes ces métaphores, elles sont sublimes et on en pleurerait.

En plus de ça je peux te rendre tout les compliments tu m'avais fait sur la fiche d'Aslinn, c'est comme un shoot de te lire, c'est planant, ça file des frissons. Bref, bordel, t'es une magicienne des mots GYPSIE SUICIDE. 3827031138. Puis j'adore le gif de signature GYPSIE SUICIDE. 1261061888
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MessageSujet: Re: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. EmptyDim 1 Jan - 21:53

oh merci, j'suis trop contente que ça vous plaise GYPSIE SUICIDE. 1261061888
les récits oraux des tziganes sont gavés de métaphores, et leur propre communauté, le vent, la terre et la lune occupent la place prépondérante de leur poésie, alors j'ai tenté d'essayer de reproduire ça version écrite, quitte à faire des répétitions un peu lourdes sur les images... mais si ça vous plait, je suis comblée. GYPSIE SUICIDE. 830152195
ophé GYPSIE SUICIDE. 2574002215 j'ai inversé le rêve et le cauchemar dans l'ordre de post, je vais commencer par le cauchemar, qui sera un souvenir traumatisant à jamais pour bisha, c'est-à-dire son bannissement de la communauté rom. ce que tu as lu, c'est son rêve, les souvenirs et le retour inespéré au sein de sa famille.
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Noa Wheelock

Noa Wheelock




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MessageSujet: Re: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. EmptyDim 1 Jan - 22:05

Oh, c'est vrai que ça prend de suite bien plus de sens. Ça me semblait très beau pour un cauchemar, mais qui sait... J'ai hâte de pouvoir en lire davantage, en tous les cas. GYPSIE SUICIDE. 2574002215
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Tito Korhonen

Tito Korhonen




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MessageSujet: Re: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. EmptyDim 22 Jan - 4:15

... GYPSIE SUICIDE. 3446682104
Et j'vais me répéter, rien à foutre : Bisha m'a tué. Puis, tu sais ce que j'en pense après tout. Fiche magnifique, gah. GYPSIE SUICIDE. 1408441462

Validée, évidemment. Et RP en prévision, obligatoire. I love you
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MessageSujet: Re: GYPSIE SUICIDE.   GYPSIE SUICIDE. Empty

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