ENDLESS WALTZ
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 imaculate, @maganda

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Reno Sterv

Reno Sterv




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MessageSujet: imaculate, @maganda   imaculate, @maganda EmptyMer 28 Déc - 20:34

________________________
RENO'S SQUAT
sujet hot.

RENO&GANDA
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J'traîne des pièces, j'croule sur l'matelas qui fait office d‘lit d‘puis des années, j'ferme les yeux. J’vois des images chaotiques, des démons qui viennent pour m’bouffer les tripes, qui m’lacère l’torse pour m’arracher les entrailles. Et des explosions de couleurs vivent qui m’niquent les yeux, qui m’feront perdre la tête un jour ou l’autre. Ça va plus. Décidemment plus. J'tente de m'calmer, j'y arrive pas. J’inspire, j’expire, ça fait qu’m’énerver encore plus. J'pose mon avant-bras sur mes yeux, mais ça m'calme toujours pas. Pas la peine d’essayer d’dormir, c’peine perdue, j’sais qu’il m’faut plus que ça. L’sommeil n’voudra pas d’moi t’façon, c’t’à peine s’il m’accepte encore une fois le milieu d’la nuit v’nu. Ça s’apparente surtout à des blackouts, ces moment d’sommeil, où j’ferme les yeux. Rien d’plus que des blackouts. J’sais pas où j’suis, j’sais pas où j’me réveille. J’suis la plupart du temps défoncé et dans tous les cas j’m’en souviendrais pas. J'serre les dents, j'mords ma main. Avec rage. J'arrive à rien, si c'n'est à m'égratigner et m'faire saigner. Un fil rouge qui s’prend entre mes doigts. J'soupire et m'relève pour foutre de l'eau là d'ssus, histoire d'pas tâcher encore plus mon jean. Trop d'sang tue l'sang. J’aurais p’t’être pas dû éclater la gueule de c’mec hier soir, j’me r’trouve avec un jean où l’une des jambes est rouge. Mais évidemment, y a pas d'eau. A quoi j'pensais ? A rien, pour changer. J’ai pu les neurones assez boostés pour réfléchir, c’est mort. Y m’faut un truc, d’l’adrénaline. J'choppe l'vieux bout d'tissu, qui traîne ici d'puis l'lycée, d'puis qu'Tito l'a oublié y a quelques années, c'lui qui m'sert à chaque fois à virer tout l'sang que j'peux avoir sur la gueule ou sur les mains. D'un coin, j'efface le fin filet rouge qui coulait l'long d'mon pouce et j'le jette sur l'matelas. Torse nu, j'me dirige vers l'entrée sans porte du squat, et j'regarde la nuit qui tombe sur la Nouvelle-Orléans. Pas un chien. J'commence à péter un câble et j'serre le poing avant d'le cogner dans l'mur. J'prends l'premier objet qui m'vient sous la main, une lampe, l'une des seules de c'squat, et j'l'éclate contre l'mur d'en face. J'en peux pu. J'vais péter un câble. Faut qu'j'saigne quelqu'un, que j'l'écorche, que j'le vide. S'il m'fait vraiment chier, que j'le crève, tant qu'à faire. M'faut quelqu'chose pour m'défouler. L'premier salop qui passe, j'lui fait bouffer l'sol. Et putain, pourquoi l'autre ramène pas son gros cul jusqu'ici ? Hein ? Ça l'amuse, p't'être, de m'foutre dans c't'état ? Vas crever, Soul. J'te maudis, j'maudis ta dope, cette putain d'dope qui m'rend addict, accroc. Dont j'peux plus m'passer. Crèves, salop. Crevez tous. J’vous emmerde. J’commence à fouiller dans tous les recoins d’la piaule, à la recherche d’possible restes de Black Meat.

J’relève la tête quand j’entends un bruit d’pas, alors qu’j’étais à genoux. Et puis j’la vois. Maganda. J’souris légèrement, en coin. Un sourire carnassier. J’la fixe, la r’garde de haut en bas. Bas résille, short court, t-shirt trop grand qui m’laisse deviner la courbe d’un d’ses seins. J’remarque alors les deux bobines qu’elle trimbale sous son bras. Vive l’prétexte. Mais j’m’en contente, j’sais bien c’qui suivra après qu’elle m’les aura filé. Ça s’finira sur l’matelas. J’remonte un d’mes genoux et j’m’appuie d’ssus, sans cesser de sourire, comme un prédateur qui s’apprête à sauter sur sa proie. J’repose mes yeux sur ses jambes, et j’les r’garde d’un air satisfait. J’sais parfaitement que dans quelqu’minutes elles s’ront à moi. Et j’remonte jusqu’à son visage. - C’toi qui devrais être à g’noux.


Dernière édition par Reno Sterv le Jeu 29 Déc - 19:32, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: imaculate, @maganda   imaculate, @maganda EmptyJeu 29 Déc - 10:36

There is no fear, tension will ignite
And there is no point, no use putting up a fight
Free yourself from mortal pain, no free will, no void to fill
Fantasy becomes reality, fulfillment through submission

combichrist - i want your blood

La lune fait son entrée majestueuse dans ta chambre et ses rayons caressent ta peau si convoitée. Ton cœur bat, tu fermes les yeux, comme pour sentir que tu es vivante, comme s'il était ton dernier espoir pour sortir de cet enfer. Seulement, tu accueilles dans tes bras le diable, tu le serres aussi fort que tu peux, comme une pauvre humaine esseulée. Ton corps se lève, tu t'habilles avec ce qui te passes sous la main. Des collants, un short en jean, qui couvrent tes jolies cuisses. Il n'est pas court, du moins pas assez pour le regard de certain. Tu masques tes formes, tu ne veux pas ressembler à ses filles vulgaires. Ton shirt gris, est large, on voit juste ton épaule dénudée, et rien d'autre. Tes yeux bleus sont fatigués mais tu t'en fou, tu ne prends même pas la peine de les maquiller. Tu regardes par la fenêtre, tu penses à ta mère, à celui qui à rendu sa vie un véritable calvaire et tu pries silencieusement pour que ce bâtard meure. Tu as son sang dans tes veines impures, tu veux te les couper mais tu ne peux pas, tu t'accroches à cette vie durement menée, attendant un revers, peut-être même une mort violente. Tes yeux virevoltent sur un carton, tes pieds t'y amène et tes doigts s'emparent des objets présent. De vieilles bobines de film, tu souris, pensant à ta mère qui t'avait contée leur histoire. Tu en prends soin, comme si le temps n'avait plus d'emprise sur eux. Tu les prends et regardes. Double, tu remarques que certains en ont. Alors tu les prends, pensant que cela intéresserait quelqu'un. Ce quelqu'un c'est Reno, un projectionniste. Tel un automate programmé, tu sors de chez et tes pas t'emmène directement au squat où il élu domicile. Tu t'y engouffres, ignorant le danger, le regardant droit dans les yeux, le défiant d'approcher. Tu trouves ton chemin dans ce labyrinthe de pan, tes yeux s'égare et tu trouves enfin la porte de sa chambre. Il lève les yeux, tu le fixes. Tu ne déglutis pas, ni te considères comme flattée, lorsque son regard coule comme de l'encre de chine sur tes formes oubliées. Tu t'avances, ne demandant pas sa permission pour entrer. Tu te fous de ce qu'il pense, tu déposes tes deux bobines que tu trimbalais sous tes deux bras. Tu les poses, sur le semblant de table qui est devant toi. Tu soirs, sans trop savoir pourquoi. Tu ne prends pas ses mots au premier degrés, tu tournes la tête, secouant la tête, tout en lui donnant un sourire. « Prends-en soins, ce ne sont pas de vulgaires jouets. » Tu te retournes complètement, faisant face à son sourire sadique qui ne te fais pas peur. Tu devrais, mais tu n'as pas peur, tu attends qu'il te délivres, qu'il te violente comme tu le désir en ce moment. Tes bras blancs comme la soie, se courbent et s'appuient sur les bords de la table. Ton regard toise avec une once de provoque Reno, comme une proie faible attisant son ennemi pour passer à la casserole. Tu vois dans ses yeux qu'il est en manque, sa t'arrache un sourire en coin, cela sera violent, brutal et sauvage. Tu restes silencieuse attendant ton heure.
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MessageSujet: Re: imaculate, @maganda   imaculate, @maganda EmptyJeu 29 Déc - 19:56

J’la vois qui sourit, mais j’bouge pas. J’l’écoute m’dire qu’il fallait qu’j’en prenne soin, d’ses bobines tout en cherchant à en voir plus, à pouvoir apercevoir c‘qu‘elle s‘amuse à cacher sous des fringues trop grandes pour elle. C’du gâchis d’se planquer sous un haut trop large quand on est foutu comme elle, faut avouer. Mais j’sais qu’elle l’gardera pas bien longtemps. J’lui donne dix minutes maxi à t’nir avant qu‘elle l‘retire ou qu‘j‘la dessape. J’ricane en m’relevant et j’passe une main dans mon dos avant d‘la foutre dans ma poche arrière d‘jean. J’passe ma langue sur mes lèvres, j’mords celle du d’ssous, mais j’continue d’la r’garder pour voir combien d’temps elle va l’supporter, combien d‘temps va falloir pour qu‘elle baisse les yeux la première. Et puis j’m’avance vers elle, et j’retire la lame qu’j’avais coincée entre mon caleçon et ma peau avant d’la planter dans l’bois d’la table et d’sourire de plus en plus. J’dévoile mes dents, comme l‘ferait un animal qui s‘apprête à attaquer. C’tait ça en fait, entre elle et moi : une r’lation animale, bestiale. Sauvage. Elle m’fixe et j’lui rend bien, j’lâche pas l’regard, et j’m’appuie avec mes deux mains sur l’tréteau. Ça r’fait un peu r’ssortir les veines d’mes bras. J’finis par dire : - J’pas con. Au cas où, j’te signale qu’j’ai toujours mon travail. Bah ouais, j’sais prendre soin d’ces bobines qu’elle m’ramène régulièrement, à défaut d’prendre soin d’moi-même. Chacun ses priorités. C’là qu’elle imite ma position et qu’j’vois d’la provocation dans son r’gard. C’plus fort qu’moi, j’me l’imagine direct à poil, sur l’matelas, les jambes écartées. T’façon, faut pas s’leurrer : dans moins d’dix minutes, j’serais entrain d’la faire jouir. J’soupire, et j’ris. J’sais même pas pourquoi. J’finis par baisser les yeux sur l’couteau qu’j’ai planté et dans un geste rapide, j’le sors du bois dans lequel j’l’avais coincé. J’le fais tourner dans les airs avant d’le rattraper par l’manche. J’m’amuse. Et j’sais qu’elle a d’viné où j’voulais en venir en f’sant ça, elle est pas assez conne ou naïve pour pas s’douter qu’c’est c’même couteau qui va écorcher sa douce peau d’gamine qui a pas encore atteint l’adolescence et dont l’visage est pas pourri par les pustules. Elle sait aussi qu’c’est avec ça qu’j’vais faire couler son sang, tout en la caressant et en la f’sant grimper au rideau. C’est con, j’serais incapable d’dire comment on est v’nu à s’scarifier comme ça. Mais ça pimente, ça excite. Les gens d’vraient faire comme nous, au lieu d’se ruiner en pilules bleues pour arrêter d’bander mou ou d’fantasmer sur une salope vue dans un magasine parce qu’ils sont mariés avec un thon gras et dégueulasse, à tel point qu’le cul d’vient une corvée. (…) J’bouge mon cul et j’fais l’tour de la table d’façon à être plus prêt d’elle. J’me place juste derrière et j’colle mon bassin au sien, si prêt qu’elle doit bien sentir qu’elle m’laisse pas indifférent, même fringuée comme ça. J’approche ma bouche d’son cou et j’retire ses cheveux qui m’barre l’chemin. J’finis par poser mes lèvres sur sa peau et par foutre une main sous son haut. J’recule à peine la tête et j’approche l’couteau avant d’lui entailler la peau sur une p’tite longueur et d’l’embrasser au même endroit. Qu’la fête commence.
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MessageSujet: Re: imaculate, @maganda   imaculate, @maganda EmptyJeu 29 Déc - 21:37

Ses pupilles rondes et avides de curiosité, scrute le bout de fer, comme fascinée par l'usage qui va en être fait. Elle croise son regard carnassier, son coeur bat de plus en plus vite comme pour l'avertir que quelque chose allait se passer. Elle attend qu'il s'approche d'elle. Son corps pressé contre le sien lui fait comprendre qu'il la veut, qu'il veut la posséder, qu'il veut lui faire subir plein de choses. La petite chose se cambre, courbe l'échine face à ses assauts. Elle laisse ses doigts froids frôler sa peau enfantine, s'emparer d'elle fermement, tout en sentant cette lame faire joujou avec sa peau. Elle plisse les yeux, ressent cette petite déchirure qui laisse couler un peu de son sang divin. Cela lui procure un doux frisson, non de peur, mais de plaisir. Comme si elle y prenait goût. Elle n'était pas une catin, non juste une fille qui n'avait pas froid aux yeux, comme immunisée. Maganda sent que ses forces la quitte, sa peau lui pique au contact de sa langue qui foule avec avidité sa peau à la recherche de cette liqueur salée. Elle glisse son bras sous son t-shirt et extirpe celle de Reno et se retourne subitement, lui faisant face, observant le couteau avec un certain intérêt. Ses lèvres enchanteresses le charme, elles le subjuguent et elles s'emparent de la bouche pècheresse. Elle mordille, encore et encore jusqu'à qu'elle pète. Un filet de sang s'en échappe, sa langue passe sur cette lèvre ensanglantée, tandis que ses yeux observent. La poupée en veut plus, elle veut plus de sang. Ses mains agiles prennent le couteau, ses fesses s'assoient sur la table, tandis que ses doigts parcourent la peau de Reno. Ses tatouages vibrent sous ses caresses et la lame coupe, effleure, entaille. Une toute petite. Surtout pas le visage, du moins pas maintenant, pour garder son expression dans la mémoire. Ce doux pervers, qui la maltraite. Les doigts de la jolie brune appuient sur la plaie, s'imprégnant de son sang, elle les porte à la bouche de son propriétaire et scelle sa bouche à la sienne. Un profond désir l'anime. Abime-moi comme je t'abime. Les jambes écartées, ses mains agrippent la ceinture du garçon, tandis son corps se soumet. Elle sait ce qui l'attend et elle trouve cela excitant. Elle qui veut pourtant sortir de ce tour infernal, elle en redemande comme baignée dans la folie. Petite fleur qui aime qu'on la brutalise. Elle sent l'adrénaline monter. Elle pose la lame sur l'avant bras de Reno et grave avec douceur la lettre « R ». Elle le porte sur son front et s'essuie de son sang. Elle rit, comme une enfant satisfaite de son travail. Elle lui tend alors sa lame, ses yeux lui passent un message. Fais de moi ton œuvre. Les mots sont inutiles, tout est dans les gestes. Elle approche son visage du sien, son nez jouant avec le sien. Un feu réside au creux de ses reins et ne demande qu'une seule chose : être éteint. Son souffle se diffuse, tel un parfum sur ses lèvres.
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MessageSujet: Re: imaculate, @maganda   imaculate, @maganda EmptyJeu 29 Déc - 23:54

J’lèche le sang qui s’échappe de l’entaille que je lui ai fait avec ma lame, tout en remontant ma main vers ses seins, au moment où elle la jarte pour s’retrouver rapidement. J’la r’garde faire, j’bouge pas, si c’n’est qu’je m’approche encore un peu plus d’elle. J’baisse alors mes yeux sur ses lèvres, et d’nouveau j’colle mon bassin au sien. J’allais m’emparer d’ses lèvres mais elle l’fait avant moi, et commence à me mordre. J’ferme les yeux, et j’sens la peau d’ma lèvre qui s’déchirent sous ses dents. J’réagis en l’embrassant avec plus d’avidité. J’la veux. Tu vas m’appartenir. Et j’me r’cule, j’la laisse récupérer l’couteau et s’asseoir sur la table, mais j’sens déjà l’excitation monter rien qu’en imaginant la suite, c’qui s’passera après ça, jusqu’où on ira. J’sens aussi la chair de poule au contact d’ses doigts, et j’recommence à lui mordiller l’cou pendant qu’elle m’entaille l’bras. Ça m’fait rien, du moins aucune douleur, j’subis des coups plus violents qu’ça. Les griffures de la lame, ça r’ssemble plus à une douce piqure. J’pose une main sur sa joue et j’l’embrasse avec plus de fougue, mais j’dois m’reculer quand elle m’fou son doigt sur la bouche et qu’elle r’colle la sienne sur la mienne. Et nos salives s’mélangent au sang, nos langues s’tournent autour et s’mêlent au milieu d’tout ça. J’la sens qui s’accroche à ma ceinture et j’peux pas m’empêcher d’sourire, même quand elle m’plante l’bout d’la lame dans l’bras et qu’elle y dessine mon initiale. J’la laisse s’barbouiller d’mon sang et j’récupère l’couteau. A moi d’jouer. J’décide de pousser un peu plus l’vice, et j’passe la lame dans son dos, en r’montant, pour déchirer son t-shirt. Trop encombrant, l’avait pas sa place entre nous. J’lui lance un sourire prédateur, qui fait sentir toute cette putain d‘perversion qu‘j‘ai en moi et qui d‘mande qu‘à sortir. J’la dessape, jusqu’à c’qu’elle s’retrouve sein nu et j’pose mes mains sur ses cuisses. J’la fais s’allonger, et j’me penche sur elle en posant la lame sur ses lèvres. Mais j’m’y attaque pas, pas maintenant. L’visage pour la fin. Au lieu d’ça, j’l’embrasse et j’laisse mes lèvres descendre dans son cou. J’pointe le bout du couteau entre ses seins, et j’enfonce de façon à attaquer la peau, sans y aller trop fort pour pas finir par la vider d’son sang. Pas sur ma table. J’fais glisser le fer sur une bonne dizaine d’centimètres et j’fais suivre à ma bouche la direction vers le début d’l’entaille. J’pose une main sur l’un d’ses seins, et avec l’autre j’plante le couteau dans l’bois d’la table pendant qu’j’laisse ma langue remonter le long d’l’entaille. Elle redescend, plus bas encore que là où s’arrête la plaie, et j’pose une main sur sa taille. L’autre, qu’j’avais laissé sur sa poitrine, j’m’en sers pour défaire son short et l’laisser tomber sur l’sol, agrippant au passage ses sous-vêtements sans les r’tirer totalement. Et ma bouche qui descend toujours plus, et qui s’approche d’son entrejambe. J’finis par la r’monter, et la r’mettre sur ses lèvres, retirant l’couteau du bois pour lui mettre dans la main en profitant pour lui couper le poignet. Et j’pousse un soupir, un râle, en même temps qu’je sens mon jean s’resserrer au niveau d’mon caleçon. Faut qu’ça s’accélère.
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MessageSujet: Re: imaculate, @maganda   imaculate, @maganda EmptySam 31 Déc - 17:02

Son t-shirt n'est plus, réduit à néant par la lame qui sévit. Elle se retrouve en simple tenue devant son ravisseur. Elle répond à son sourire carnassier qui la transcende. Pauvre petite chose fascinée par le morbide. Maganda aime, elle ne sait pas d'où cela lui vient, elle a juste envie de l'écorcher, de faire de lui sa chose, son côté obscure se sent flatté, il veut pousser la chose plus loin. Elle s'allonge, sent ce bout de métal froid sur ses lèvres, puis sent quelque chose l'envahir. Il se penche, tel un félin accordant son dernier souffle à la gazelle. Elle sent la lame lui dicter son comportement, elle se cambre sous l'entaille, ses lèvres mordent celles de Reno avant d'échapper un faible gémissement qui s'évanouit dans la nature. Elle sent le craquèlement de sa peau s'offrir à lui sans résistance. Sa peau souffre en silence mais elle est avide d'embrasser la lame, mortellement. Elle sang son sang aspirée, la salive du jeune homme la chatouille. Le bout de fer est planqué sur la table, le contact de ses mains procure un frisson à la jolie brune. Ses pupilles se dilatent. Ses vêtements disparaissent, comme par enchantement, il ne lui reste plus qu'un seul morceau de lingerie. Elle se relève tout en observant son entaille, comme ravie du travail fait. Il la titille, elle resserre l'emprise de ses jambes autour de son bassin, elle sent que le tensiomètre va exploser. Maintenant c'est à elle d'achever son tour dans cette danse infernale. Elle grince légèrement des dents, lorsque son poignet se déchire, le sang se déverse par petites gouttes seulement, sur Reno. Elle le marque de son sang, elle le porte à ses lèvres et lèche. Cet élixir la rend euphorique. La lame est entre ses doigts. Les doigts fins escaladent la peau du torse, ils caressent la peau du cou, se posent sur les lèvres, jouent avec elle. Elle le repousse, se met sur ses deux jambes, tourne autour de lui. Elle le plaque contre la table, un petit cri sort de sa bouche. Ses pupilles bleues parcourent ce dos si rond et ferme. Ses mains s'en emparent et dorlotent chaque parcelle, jusqu'à que la poupée, va plus bas. Elle coupe d'un geste la ceinture, descend son pantalon tandis que la lame s'affaire à sa chute de rein, encore innocente. Elle pose le fer, strie sa peau en longueur, se délecte de l'hémoglobine qui sort. Sa bouche passe une première fois, sa langue s'y met avide de sensation. Dans quelques heures, toutes ses entailles, cicatriseront, avec le simple pouvoir de la salive. Son corps remonte tandis que son visage se pose sur son épaule, elle lui mordille l'oreille, sourit, avant de souffler. Elle le retourne, sa bouche parsemée de gouttes de sang. Son bassin frôle le sien, ses bras l'enlace tandis que ses jambes entoure son bassin. Leur souffle se mêlent, l'excitation monte. Maganda a toujours la lame, elle l'embrasse, sourit, joue avec sa langue, se presse contre lui, sentant l'étreinte finale arriver. Eux seuls pouvaient prétendre s'entailler aussi longtemps qu'ils le voulaient, personne d'autre. C'était leur truc, qui rendait tout plus sauvage et bestial. Elle prend la lame de sa main droite, tandis que l'autre agrippe la tignasse et la fait pencher. Avec précision, elle entaille sous la clavicule,
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MessageSujet: Re: imaculate, @maganda   imaculate, @maganda EmptyJeu 5 Jan - 18:27

J’lèche le sang qui sort de l’entaille que j’ai fait sur son torse, du début de sa poitrine à quelques centimètres au dessus de son nombril, et j’laisse glisser ma main l’long d’son corps, partant de ses seins jusqu’à ses jambes. Maganda s’relève, me repousse, et c’met à tourner autour d’moi avant d’me coller contre la table. J’sers les dents en sentant la lame qui traverse la peau du bas d’mon dos, en percevant mon sang qui s’écoulait jusqu’à mon caleçon avant de se faire absorber par le tissu. J’resserre mes doigts sur le bord de la table sous les picotements légers des plaies, sous les passages du fer sur ma peau. J’pousse un léger soupire en sentant la langue de Ganda sur les entailles, qui joue avec mon épiderme déchiré. Et j’la sens se redresser, poser sa tête sur mon épaule, me mordre l’oreille. J’souris, elle souffle, j’la laisse me retourner. J’plonge un court instant mes yeux dans les siens avant d’les laisser glisser le long de son visage et d’m’arrêter sur sa bouche. Elle s’approche un peu plus, laisse son bassin frôler le mien, passe ses bras autour de mon torse et ses jambes autour de ma taille. J’pose une main sur le galbe de ses fesses, l’autre sur sa cuisse. Réflexe. C’t’alors que je sens sa bouche contre la mienne, et j’l’entrouvre. Sa langue passe, commence à jouer avec la mienne pendant qu’nos salives se mélangent. J’sens un arrière goût métallique dans ma bouche, à cause du sang. J’commence à avoir l’habitude, d’autant qu’c’est pas si désagréable. J’allais intensifier c’baiser Maganda en a décidé autrement : elle me tire par les cheveux et me coupe sous la clavicule. A nouveau, j’soupire. D’un coup sec, j’me défais de sa prise et j’récupère la lame. Sourire en coin. J’la tiens d’une main, le couteau dans l’autre, et j’pose sur elle un r’gard carnassier. J’la fais s’asseoir sur l’plan d’travail, l’un des rares meubles du squat, et tout en collant ma bouche à la sienne, j’passe la lame sur son cou et j‘appuie, j’la fais descendre jusqu’à son torse en frôlant sa peau, et elle finit par atterrir entre ses cuisses. J‘mords sa lèvre, j’la coupe vers le genoux. Et plus mes dents transpercent sa peau, plus je remonte la lame en prenant soin de strier sa jambe. J’descend ma bouche, passe ma langue sur ses seins, son ventre, et j’me retrouve assez rapidement à g’noux. J’glisse une main jusqu’à son mollet, l’autre sur sa taille, et j’passe mes lèvres sur les blessures que j’lui ai faite. J’commence par celle qui est la plus près de son genoux, et j’remonte doucement vers son entrejambe, mes baisers devenant d’plus en plus langoureux. J’ralentis la montée d’ma bouche à mesure que j’m’approche du point sensible et pourtant, je finis quand même par la poser dessus et par accélérer de nouveau le mouvement de mes lèvres. J’abandonne le couteau sur le plan d’travail, et j’met mon autre main sur son autre mollet tout en passant ma langue sur son entrejambe.

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